mon unique but, en qualité de responsable de CDJF-CASAV, est de bien conseiller fiscalement d'abord, mais aussi d' aider les personnes qui font appel à moi à bien se défendre, dans leur intérêt, eux qui doivent faire face à des redressements fiscaux (impôt sur le revenu ) parfois injustes ou injustifiés ou exagérés, ou complexes, ou qui ont besoin de renseignements ou de précisions sur tel ou tel point de la fiscalité qui leur est, ou non, applicable, et le tout à ce qui me semble être à un très juste prix. Outre mes connaissances et compétences juridiques très étendues en droit fiscal, faisant de moi un expert avéré en fiscalité, je suis connu pour aisément déceler sur la forme, les vices de procédure fiscale et de forme, les incohérences, les argumentaires parfois contradictoires de l'administration des impôts, etc..., susceptibles de mettre en échec les procédures engagées à l'encontre des contribuables. 
les concernant (revenus de toutes catégories), conseiller fiscal : salaires, revenus fonciers, RCM, TAXES FONCIERES [1], BIC, BNC [2] etc [1] : RCM = revenus de capitaux mobiliers ;
[2] : BIC = bénéfices industriels et commerciaux ; BNC = bénéfices non commerciaux.
Le conseil ou (et) la réponse aux questionnements fiscaux sur un point de la fiscalité des particuliers, la défense d'un contribuable (d'un particulier), "redressé" par le Fisc (rectifications), peut très bien s'effectuer par mails et courriers et en toute connaissance de cause à partir de la copie des documents déclarés d'une part, et de celle des documents reçus de l'administration fiscale de l'autre, et cela à tous les niveaux de recours (même gracieux) jusque devant le juge de l'impôt (tribunal), dès lors encore une fois que le contrôle est effectué "du bureau" et qu'il vise un "particulier".
Au-delà, l'assistance d'un avocat serait bien sûr nécessaire (devant une Cour administrative d'appel; le Conseil d'Etat, le TGI, la Cour de cassation par exemple), mais je rappelle que plus de 90% des litiges fiscaux se règlent bien avant d'atteindre ce stade, et souvent dès la réponse à la proposition de rectification de l'administration fiscale ou, au pire, au niveau de la réclamation. A cet égard :
(extrait d'un courriel datant du tout début de janvier 2017) : "J'ai bien reçu votre projet de réponse à la proposition de rectification et je vous en remercie. Je dois dire que je suis admiratif d'un tel travail. Jamais je n'aurai été en mesure de rédiger une telle lettre, c'est stupéfiant ! Quand j'en vois la consistance, les argumentations, les références, etc, je me demande comment vous arrivez à rédiger tout cela en si peu de temps. C'est incroyable !" : je dois avouer que pareils compliments de la part de clients, me font plaisir, me vont droit au coeur et constituent ma meilleure récompense et "rémunération", dans cette forme de reconnaissance de mon travail.
Encore une fois, je vous recommande de lire les quelques témoignages (authentiques, vérifiables et vérifiés) de clients qui ont cru en moi et ne l'ont jamais regretté par la suite. Ces témoignages authentiques et vérifiés (si je devais publier tous les témoignages que j'ai reçus, le présent site deviendrait vite indigeste et comme tel, inutile) sont pour des raisons évidentes de respect du secret professionnel et de respect du droit à la vie privée de mes clients, établis "sous pseudonymes" et bien évidemment, ils ne citent pas précisément les affaires traitées par moi : c'est bien normal et compréhensible, je pense !
Cependant, je peux dire qu'au cours de ces dix dernières années, j'ai eu souvent à traiter des affaires de mauvaise application par l'administration, des Conventions fiscales internationales, du non-respect de sa doctrine (BOFIP) concernant des dépenses ouvrant droit à réduction d'impôts ou à crédit-d'impôt, et aussi et tout particulièrement pour une soixantaine de dossiers répartis dans toute la France et à l'étranger, d'un avantage fiscal lié à des investissements outre-mer remis en cause (à tort) par l'administration, et pour lesquels j'ai obtenu un peu plus de 50% de taux de réussite devant les tribunaux administratifs de ce pays, ce qui est un très bon score compte-tenu de ce que ces dossiers, pour la plupart, avaient déjà fait l'objet avant moi, de réponses maladroites à l'administration fiscale, ou de réclamations très mal argumentées, de la part de mauvais conseillers !
Mes compétences pour les particuliers ne s'arrêtent d'ailleurs pas aux frontières de l'impôt sur le revenu. S'y ajoutent en effet : - les revenus fonciers
- l'ISF et à c/ du 1.01.2018 : l'IFI
- les plus-values des particuliers
- les impots directs locaux taxe habitation TAXE FONCIERE et même la CFE des enteprises
- les droits de succession et de donation
- les questions de domiciliation fiscale, de retenue a la source et celles ayant trait à l'application des Conventions Fiscales Internationales, domaine délicat s'il en est, et pour lequel j'ai tout de même été spécialement formé, l'ayant même pratiqué pendant plusieurs années à Paris, faisant de moi également l'un des meilleurs spécialistes conseillers avérés et avisés, et reconnus en fiscalité internationale, n'ont aucun secret pour moi ! TAXES FONCIERES
Vous recevez une augmentation conséquente de votre TAXE FONCIERE, et vous n'y comprenez rien ? Contactez-moi et laissez-moi faire ! Il y a de fortes chances (sauf exceptions bien sûr) pour que vous puissiez obtenir une bonne réduction de votre TAXE FONCIERE !
Si votre problème concerne ces matières fiscales, mes tarifs sont ceux indiqués ci-après, exactement comme pour l'impôt sur le revenu.
Mon domaine d'intervention ne concerne avant tout que l'assiette et le contrôle de l'impôt sur le revenu, et les procédures de taxation et de redressements (rectifications) suivies par les services fiscaux.
Il ne concerne en principe donc pas le recouvrement (paiement) de l'impôt, ni les procédures de recouvrement forcé ("saisies administratives à tiers détenteurs" (ou "SATD"), anciennement appelées "avis à tiers détenteur" ; "arrêt-saisie sur salaire", etc...) sauf si ces SATD portent sur le recouvrement forcé de créances de l'Etat à caractère purement "fiscal"
Je ne prends donc pas en charge la "défense" ou "action en annulation" d'une "SATD", dont l'origine n'a strictement rien de "fiscal" comme pour des amendes routières impayées ou encore des frais d'hospitalisation impayés, etc).
En fait et en résumé, en matière d'intervention fiscale"de ma part, tout se déroule parfaitement par écrit, entre mes clients et moi. Dès lors qu'ils m'ont décrit sans omission leur situation fiscale exacte, leurs craintes, leurs besoins, et qu'ils m'on bien communiqué les copies des documents que je leur ai demandées, tout peut parfaitement et facilement se dérouler par écrit : de la simple réponse à une demande de renseignements qu'ils ont reçue de l'administration fiscale, à la réponse à apporter à une "proposition de rectification", en passant par la "réclamation contentieuse" à adresser au Fisc suite à rectification de leurs revenus imposables ("redressements"), et même - en cas de décision de rejet de cette dernière - jusqu'à l'appel de ce rejet par voie du recours devant le Tribunal administratif compétent territorialement, je m'occupe de tout, et tous ces actes peuvent être préparés par moi.
Je rappelle en effet qu'un recours devant un tribunal administratif ne nécessite pas obligatoirement l'accompagnement d'un avocat-fiscaliste, et j'en veux pour preuves :
- l'instauration depuis plusieurs années maintenant, de la procédure "télérecours-citoyen", qui justement permet au contribuable - après s'être constitué gratuitement et rapidement un compte sur le site gouvernemental ad hoc - de transmettre en "dématérialisé" (au format numérique, et non "papier") : - le "mémoire introductif d'instance" ;
- les "mémoires en réplique" éventuels, etc
Je prépare tout ce qui est nécessaire à mes clients :
- les lettres dûment argumentées ;
- les "mémoires" dument argumentés ;
- la "marche à suivre" (ou mode d'emploi) afin qu'ils envoient sereinement à l'administration fiscale, leurs réponses, leurs contestations, ou qu'ils envoient aux greffes des tribunaux administratifs leurs "mémoires", et qu'ils puissent ensuite en suivre l'évolution et être informés de l'issue de ces démarches !
Toutes ces procédures - scrupuleusement préparées, avec soin, et dûment expliquées, sont simples d'utilisation par les contribuables faisant appel à mes services !
Je rappelle accessoirement que, dans un tout autre registre, je suis également rédacteur, en plus d'être conseil fiscal, et notamment (mais pas uniquement) dans ce même domaine fiscal, sur le site web du web-magazine de la finance, du patrimoine, de la Bourse, des cryptomonnaies et de la fiscalité : www.Actufinance.fr !
Bien sûr, je connais mes limites (qui sont notamment celles d'être seul pour tout faire, sans aucune aide technique), et je sais d'emblée reconnaître si telle ou telle "affaire fiscale" peut être traitée efficacement et utilement par moi, si elle est bien de mon ressort, ou si au contraire il serait préférable qu'elle soit proposée à un avocat-fiscaliste, auquel cas j'en avertis le plus tôt possible le client qui a fait appel à mes services ! Comment procéder ?