le fiscaliste Didier Brochon efficace contre redressements des impôts et contrôles fiscaux et pas cher
CDJF-CASAV, c'est:
  • - solutions fiscales pour les particuliers redressés par le fisc, redoutablement efficaces et pas chères
  • - un des meilleurs experts de l'écriture, relecteur-correcteur, rédacteur, web-rédacteur, rédacteur de contenu, écrivain public pas cher

  Didier Brochon fiscaliste s`engage sur la qualite de ses services

En conseil fiscal avisé, en "expert compétent complet et confirmé en droit fiscal", excellent "spécialiste fiscalité" , je sais être très efficace, rapide, et convaincant (cf: extraits "d'avis et témoignages" dans le Livre d'Or) et je me défends très bien sur le "fond", n'ayant de plus pas mon pareil pour débusquer les "vices de forme" et de "procédure" ! Je propose les meilleures solutions fiscales efficaces aux particuliers menacés par le fisc, et je suis aguerri aux contrôles fiscaux !

  • depuis la réponse à faire à la proposition de rectification, voire dans certains cas, la réponse à faire à la "demande de renseignements préalable" à l'envoi d'une proposition de rectification ;
  • jusqu'aux instances devant le tribunal administratif  (mémoires à adresser au Greffe du tribunal  dont vous dépendez si cela s'avère nécessaire) ;
  • en passant par la préparation à votre rendez-vous avec le Conciliateur fiscal (non obligatoire et uniquement si tel est votre souhait) ;
  • et la réclamation (avec ou sans demande de sursis de paiement), de même que pour tous "recours parallèles", comme la saisine du Défenseur des Droits, ou encore du Médiateur des ministères économiques et financiers , etc.. ;
  • ainsi que la demande de remise gracieuse le cas échéant s'il s'avère que l'administration fiscale a raison sur la forme et le fond, et que vous pouvez arguer de difficultés avérées de paiement; la demande de délais de paiement le cas échéant ;
mon unique but, en qualité de responsable de CDJF-CASAV, est de bien conseiller fiscalement  d'abord,  mais  aussi  d' aider les personnes qui font appel à moi à bien se défendre,  dans leur intérêt, eux qui doivent faire face à des redressements fiscaux (impôt sur le revenu ) parfois injustes ou injustifiés ou exagérés, ou complexes, ou qui ont besoin de renseignements ou de précisions sur tel ou tel point de la fiscalité qui leur est, ou non, applicable, et le tout à ce qui me semble être à un très juste prix. Outre mes connaissances et compétences juridiques et en "droit fiscal"  très étendues sur le fond, faisant de moi un expert avéré en fiscalité, je suis connu pour aisément déceler sur la forme, les vices de procédure fiscale et de forme, les incohérences, les argumentaires parfois contradictoires de l'administration des impôts, etc..., susceptibles de mettre en échec les procédures engagées à l'encontre des contribuables. 
 
source : pexels-nataliya-vaitkevich ; comment reduire impots et taxes avec l'aide de didier brochon
 
Conseiller en fiscalité pour particuliers
les concernant (revenus de toutes catégories), conseiller fiscal : salaires, revenus fonciers, RCM, TAXES FONCIERES [1], BIC, BNC [2] etc
[1] : RCM = revenus de capitaux mobiliers ;
[2] : BIC = bénéfices industriels et commerciaux ; BNC = bénéfices non commerciaux.


Le conseil ou (et) la réponse aux questionnements fiscaux sur un point de la fiscalité des particuliers, la défense d'un contribuable (d'un particulier), "redressé" par le Fisc (rectifications), peut très bien s'effectuer par mails et courriers  et en toute connaissance de cause à partir de la copie des documents déclarés d'une part, et de celle des documents reçus de l'administration fiscale de l'autre, et cela à tous les niveaux de recours (même gracieux) jusque devant le juge de l'impôt (tribunal), dès lors encore une fois que le contrôle est effectué "du bureau" et qu'il vise un "particulier".

Au-delà, l'assistance d'un avocat serait bien sûr nécessaire (Cour administrative d'appel; Conseil d'Etat, TGI, Cour de cassation par exemple, Conseil d'Etat, comme déjà dit), mais je rappelle que plus de 90% des litiges fiscaux se règlent bien avant d'atteindre ce stade, et souvent dès la réponse à la proposition de rectification de l'administration fiscale ou, au pire, au niveau de la réclamation.
A cet égard :

(extrait d'un courriel datant du tout début de janvier 2017) : "J'ai bien reçu votre projet de réponse à la proposition de rectification et je vous en remercie. Je dois dire que je suis admiratif d'un tel travail. Jamais je n'aurai été en mesure de rédiger une telle lettre, c'est stupéfiant ! Quand j'en vois la consistance, les argumentations, les références, etc, je me demande comment vous arrivez à rédiger tout cela en si peu de temps. C'est incroyable !
" : je dois avouer que pareils compliments de la part de clients, me font plaisir, me vont droit au coeur et constituent ma meilleure récompense et "rémunération", dans cette forme de reconnaissance de mon travail.

Encore une fois, je vous recommande de lire les quelques témoignages (authentiques, vérifiables et vérifiés) de clients qui ont cru en moi et ne l'ont jamais regretté par la suite.

Mes compétences pour les particuliers ne s'arrêtent d'ailleurs pas aux frontières de l'impôt sur le revenu. S'y ajoutent en effet :

 
- les revenus fonciers

- l'ISF et à c/ du 1.01.2018 :  l'IFI

- les plus-values des particuliers

- les impots directs locaux taxe habitation TAXE FONCIERE et même la CFE des enteprises
- les droits de succession et de donation
- les questions de domiciliation fiscale, de retenue a la source et celles ayant trait à l'application des Conventions Fiscales Internationales, domaine délicat s'il en est, et pour lequel j'ai tout de même été spécialement formé, l'ayant même pratiqué pendant plusieurs années, faisant de moi également l'un des meilleurs spécialistes conseillers avérés et avisés, et reconnus en fiscalité internationale, n'ont aucun secret pour moi ! 
 
TAXES FONCIERES

 
Vous recevez une augmentation conséquente de votre TAXE FONCIERE, et vous n'y comprenez rien ? Contactez-moi et laissez-moi faire ! Il y a de fortes chances (sauf exceptions bien sûr) pour que vous puissiez obtenir une bonne réduction de votre TAXE FONCIERE !

Si votre problème concerne ces matières fiscales, mes tarifs sont ceux indiqués ci-après, exactement comme pour l'impôt sur le revenu.

Mon domaine d'intervention ne concerne avant tout que l'assiette et le contrôle de l'impôt sur le revenu, et les procédures de taxation et de redressements (rectifications) suivies par les services fiscaux.
Il ne concerne en principe donc  pas le recouvrement (paiement) de l'impôt, ni les procédures de recouvrement forcé ("saisies administratives à tiers détenteurs" (ou "SATD"), anciennement appelées "avis à tiers détenteur" ; "arrêt-saisie sur salaire", etc...) sauf si  ces SATD portent sur le recouvrement forcé de créances de l'Etat à caractère purement "fiscal"


Je ne prends donc pas en charge la "défense" ou "action en annulation" d'une "SATD", dont l'origine n'a strictement rien de "fiscal" comme pour amendes routières impayées ; frais d'hospitalisation impayés, etc).

Je rappelle accessoirement  que, dans un tout autre registre,  je suis également coach en écriture, rédacteur, en plus d'être "conseil fiscal" !


 
Comment procéder ?

 
Consultez le :       mode d'emploi fiscal

 
 
Excellence du site de Didier Brochon - cdjf-casav.com
 
Contactez-moi directement par mail à :

 contact.fiscalite.cdjf-casav-didier.brochon@cdjf-casav.com


ou encore via la page dédiée à toute demande (tous domaines de mon site) :

https://www.cdjf-casav.com/contactez-moi.php


 
 
RETOUR ACCUEIL

https://actufinance.fr/actu/author/didierbrochon

Mon article sur WWW.Actufinance.fr : https://actufinance.fr/actu/taux-reduit-tva-photographies-art-6996417.html


Mon article de presse sur la CINOR : https://actufinance.fr/actu/cinor-fiscalite-reunion-6997770.html

 
 
 
      © Didier BROCHON
™ CDJF-CASAV
 
Logo société compressé 

La demi-part fiscale des veuves d’anciens combattants s’ouvre à davantage de bénéficiaires
 
Selon la loi n° 2019-1479 du 28/12/2019 de finances pour 2020 et dès 2022, les veuves d’anciens combattants âgées de plus de 74 ans pourront profiter de la demi-part fiscale supplémentaire, dès lors que leur conjoint est décédé après 65 ans.
 
Jusqu’ici, les titulaires de la carte d’ancien combattant bénéficient d’une demi-part supplémentaire dès l’âge de 74 ans. Cette majoration est également accordée à leurs veufs ou veuves du même âge. Actuellement, il existe une différence de traitement selon l’âge de décès du mari : une veuve de 74 ans a droit à une demi-part de quotient familial supplémentaire lorsque son mari, lui-même bénéficiaire de l’avantage fiscal, meurt à 74 ans. Or, s’il est décédé plus tôt, le conjoint survivant n’y pas droit.

C’est donc pour mettre fin à cette injustice que la loi de finances pour 2020 étend le bénéfice de la majoration de quotient familial aux veuves d’anciens combattants âgées de plus 74 ans, dont le conjoint meurt après 65 ans (et même 60 ans dans certains cas), âge à partir duquel la retraite du combattant peut être demandée, mesure qui n’entrera en application qu’en 2022, au titre des revenus de 2021.
 

CURIOSITE FISCALE
 
Il fut un temps où les salariés se voyaient appliquer sur leurs salaires imposables, une déduction forfaitaire de 10% (plafonnée) puis un abattement de 20%, pendant que les retraités et pensionnés eux, voyaient leur retraite imposable seulement diminuée d'un abattement de 20%. Puis ces temps-là révolus, l'administration fiscale applique depuis de très nombreuses années maintenant, uniformément, un abattement forfaitaire de 10% - sur les salaires comme sur les retraites. 
Mais : 
  • l'abattement de 10% pour un salarié est plafonné à 12 502 euros pour une personne ;
  • celui de 10% pour un retraité est plafonné à 3 812 euros et pour tous les membres du foyer fiscal !
En somme, la limite de "décrochage" entre salariés et retraités est : 38 120 euros annuels imposables (salaires ou retraites). 
En effet : 
 
en-dessous de 38 120 euros annuels
 
  • le retraité est avantagé par rapport au salarié, car son revenu net imposable, soumis à l'impôt, est inférieur à celui du salarié ;
 
au-dessus de 38 120 euros annuels
 
  • le salarié est favorisé par rapport au retraité, car son revenu net imposable, soumis à l'impôt, est inférieur à celui du retraité !